La semaine dernière, pendant quelques jours, mes enfants étaient partis « en vacances » chez leurs grands-parents. De retour dans nos chaussettes de couple « sans enfant », l’Homme et moi avons profité au maximum de ces moments. Outre le fait que notre productivité a grimpé en flèche (au boulot comme à la maison), nous avons constaté que l’absence de nos deux petits a eu un impact sur nos repas : nous avons renoué avec des petits soupers tranquilles, à jaser à deux.
Voici les repas que nous nous sommes empressés de faire – et ceux qui sont sur notre liste lors du prochain exil des enfants (ils ont d’autres grands-parents, voyez-vous)…
1. La salade-repas. Dans notre cas, ce fut une salade de chèvre chaud avec croûtons joyeusement tartinés, verdures de toutes sortes, vinaigre de framboises, pacanes caramélisées, morceaux de poires et de pommes. Un délice!
2. Les sushis. Les enfants n’ont pas encore développé le goût pour les sushis : ils goûtent aux makis végétariens, tout au plus. Grande amoureuse de sushis, je me suis payée la traite avec un souper gargantuesque. Tartare et wasabi inclus.
3. Les huîtres. L’Homme et moi en raffolons et il est plutôt rare (malheureusement) que nous en mangeons. Accompagnées de mignonettes de toutes sortes, les huîtres ont été ouvertes sur le coin du comptoir avec un verre de bulles… en parlant des enfants.
4. Les fromages et les charcuteries. Se concocter un « vins et fromages » sans occasion spéciale, juste comme ça ? Pourquoi pas. Nous avons sauvé du temps en cuisine et nous nous sommes faits plaisir : du bleu pour moi, du salami hongrois très piquant pour lui.
5. Les mets d’inspiration thaïlandaise. Pad thaï, bouillon relevé, crevettes sautées, nouilles asiatiques, tous des mets que nos enfants n’apprécient pas encore à leur juste valeur (l’exception va aux rouleaux toutefois). À 21h (!), nous avons soupé aux baguettes, ravis.
Oui, ce fut formidable. Manger plus tard que 18h. Devant une nouvelle série télé (chut, le téléviseur est interdit à l’heure des repas). Discuter sans interruption. Mais plus formidable encore : nos cocos sont rentrés à la maison, pétants de santé et heureux comme des rois, la tête pleine de souvenirs, avec taaaant de choses à raconter.
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